Une étude visant à évaluer, chez des femmes ménopausées présentant une fragilité osseuse, les effets des vibrations délivrées par les plateformes « powerplate ® » a débuté en mai 2010. L'université Jean Monnet à Saint-Étienne procède actuellement au recrutement des participantes. À ce jour, seules quatre études ont analysé l'impact des vibrations du powerplate sur le squelette, après la ménopause. Elles ont montré une augmentation de la force musculaire et de la densité minérale osseuse, une inhibition de la perte osseuse vertébrale et fémorale, une amélioration de l'équilibre et une réduction des lombalgies. Mais les chercheurs soulignent qu'aucune « n'a encore exploré les effets osseux au niveau cortical et trabéculaire et au niveau de la microarchitecture osseuse ». Les résultats de l'étude française sont attendus pour 2013.