Les récents résultats d'une étude de « Statistique Canada », menée en 2009, montrent que les femmes âgées de 50 ans et plus ayant un faible revenu forment le groupe le plus à risque d'ostéoporose. Les patientes les moins favorisées sont ainsi environ trois fois plus souvent atteintes par la maladie que les femmes aux revenus les plus élevés. L'étude montre donc que l'environnement social a un impact sur le développement d'une fragilisation des os, un fait peu étonnant quand on sait que l'ostéoporose peut être prévenue ou limitée en adoptant de bonnes habitudes de vies (activité physique régulière, alimentation saine, bons apports en calcium et vitamine D).